Thomas Red Admin & Capitaine de la Rose Noire
Nombre de messages : 99 Statut : Capitaine de la Rose Noire, beauté des septs mers Clan: : ~La Rose Noire~ Armes: : Un sabre, 2 pistolets... et ma ruse! Date d'inscription : 29/06/2007
| Sujet: Le soir venu...[PV---> Victoria Versachey] Ven 20 Juil - 17:55 | |
| La nuit était tombée sur la Rose Noire. Le navire solquait les noirs abîmes de l'océan, voyageant vers son but éternel...la liberté L'équipage était sur le pont, discutant tranquillement de la journée écoulée, ou grignotant de la viande séchée, assis sur les bords du bâtiment.
La nuit était claire et dégagée. La lune resplendissait dans le ciel noir d'ébène, parsemait de petits point lumineux. Le bois noir du bateau était baigné par les éclairs argentés de l'astre, et tout cela donnait une ambiance calme...presque fantomatique.
Le Capitaine Red s'était retiré dans ses appartements, pour réfléchir un peu et se renfermer dans sa bulle, se coupant du monde extérieur, bruyant et sauvage.
C'était une vaste pièce, richement décorée. Le sol noir était recouvert des plusieurs tapis ouvré de fils d'or et rouge, ou reposait une énorme table noire, en ébène massif, sur laquelle se tenait un chandelier en argent, une carte, avec un compas et des outils nautiques, plusieurs brochures de recherche sur lesquelles était représenté le visage du Capitaine, souligné d'une bonne somme d'argent, et enfin un vase en cristal, ou des roses noires baignaient dans de l'eau. En face de la porte d'entrée, une vaste baie vitrée faisait office de paroi, par ou des fins rayons de lumière argentée, illuminaient quelques livres posés sur la bibliothèque, adossée à la paroi droite da la pièce. Les appartements du Capitaine, baignaient dans une lueur dorée, émise par des chandelles posées ci et là dans la pièce, et desquelles s’échappait un doux parfum de cire et de miel.
Red était assis dans un grand fauteuil en bois, le même que pour la table noire. Il tenait une bouteille de verre, au goulot long et au ventre rond, qu’il portait de temps en temps à ses lèvres. Il était profondément absorbé dans l’étude d’une carte, sur laquelle il inscrivait avec une longue plume blanche, la trajectoire de son bâtiment, soulignant , pour chaque changement de cap, la date et la raison.
Son tricorne pendait d’un port manteaux en bois et en métal, auquel était suspendu aussi son blouson noir et une étrange uniforme bleu marine, vestige d’une autre vie. | |
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